Ce fut ce soir le dernier conseil municipal de cette mandature... sauf événement exceptionnel.
Sur le sujet de ma question diverse sur la Socamil, voici le lien concernant la preuve que Jean-Luc Moudenc avait bien dans son programme 2008 prévu le passage en communauté urbaine : http://moudenc.unblog.fr/2009/02/12/152/
J'avais à l'époque développé un argumentaire sur le départ de la Socamil pour éviter de subir les nuisances des rotations de camions (200/jour) tout en ne subissant pas ce départ par l'engagement d'un dialogue avec la direction de la Socamil pour le maintien au sein de la communauté urbaine de son activité et donc des emplois associés... Aujourd'hui, c'est La Socamil qui a les clefs de sa décision (et oui, M. Le maire sortant, c'est une société privée, mais les nuisances que vous avez continuez à développer sans vous poser les bonnes questions, sont publiques) et le politique se raccroche aux branches comme il peut. Une fois de plus, constatons le peu de connaissance que possède la classe politique sur la réalité économique : le seul but poursuivi est le mercantilisme lié à la fiscalité, comment continuer à spolier au maximum les moutontribuables. Ne nous étonnons pas de la situation de l'économie française avec de tels visionnaires à courte vue.
Mes commentaires sur l'actualité politique en général en incluant ma vie au sein du conseil municipal de Tournefeuille Haute-Garonne
SERMENT DE JOHN GALT
Je n'aime pas les boîtes noires.
"Je jure, sur ma vie et l'amour que j'ai pour elle, de ne jamais vivre pour les autres, ni demander aux autres de vivre pour moi"
JOHN GALT ("La GREVE" Ayn RAND)
Nous sommes sous monopole socialiste et la fin de l'histoire sera le choix entre désordre et délire. Mais c’est l’affaire de la gauche... et de la droite. Pour une fois, on ne pourra pas incriminer le libéralisme, qu'il soit néo, ultra ou autre chose, et le pouvoir hégémonique en France sera tenu pour seul responsable de la crise qui va venir et des mesures qu’elle appellera, bon gré mal gré.
Les libéraux doivent s'organiser pour constituer leur force en éclairant l’opinion publique. Celle-ci sera très vite désorientée par les initiatives du nouveau pouvoir, les promesses électorales envolées et les réalités économiques et sociales stupidement ignorées, révéleront au grand jour l'incompétence et l'impuissance de la politique à faire vivre durablement la Société.
La relance libérale sera alors devenue une nécessité lorsque les citoyens découvriront que l'horreur n'était pas ce qu'on leur présentait !!! Patrick AUBIN (juin 2012)
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17 déc. 2013
21 nov. 2013
Voir la vie à gauche : vivre sur les fruits du travail des autres !!!
Celui qui a gravit les marches de la politique politicienne à gauche et arrive au pouvoir est un homme qui a réussi. Voyez comment un tel homme voit la vie, et dites-vous bien que cette pensée est bien unique : tout homme de pouvoir à gauche, mais aussi à droite possède cette philosophie de pensée pour vivre sur les fruits du travail des autres grâce au vol fiscal (Oui je dis bien vol, car la fiscalité, à travers une taxe ou un impot, c'est une spoliation légale, une spoliation c'est du vol, d'ailleurs taxer et imposer sont des synonymes de voler ou contraindre).
Elle n'est pas belle la vie vue ainsi !!!
Le Droit, le vrai, pas celui que la jungle législative et fiscale nous construit jour après jour en défaisant ce qui a été fait la veille réclame UNE et UNE SEULE contribution commune... méditez sur ces deux articles des droits de l'homme et du citoyen (qui, a priori, est le fondement de la société française) en comparant avec la situation actuelle :
Pour l’entretien de la force publique, et pour les
dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable. Elle doit
être également répartie entre tous les Citoyens, en raison de leurs facultés.
Voir Constitution : déclaration des droits de l'homme et du citoyen
Elle n'est pas belle la vie vue ainsi !!!
Le Droit, le vrai, pas celui que la jungle législative et fiscale nous construit jour après jour en défaisant ce qui a été fait la veille réclame UNE et UNE SEULE contribution commune... méditez sur ces deux articles des droits de l'homme et du citoyen (qui, a priori, est le fondement de la société française) en comparant avec la situation actuelle :
Article XIII
Article XIV
Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou
par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir
librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité,
l’assiette, le recouvrement et la durée.
Voir Constitution : déclaration des droits de l'homme et du citoyen
24 oct. 2013
Le socialisme, c'est l'achat en démocratie des suffrages des perdants ...
Un magnifique texte écrit le professeur Serge Schweitzer, authentique libéral :
"J’ai choisi il y a quarante ans de faire de l’analyse économique, la science qui étudie l’homme en train d’agir, et de l’histoire de la pensée économique vous allez voir pourquoi cette toute petite allusion personnelle de quelques secondes.
Ça fait quarante ans que j’essaie de réfléchir à l’ordre social et à la thématique libéralisme/coercition, libéralisme/socialisme. J’ai lu je crois à peu près tous les auteurs. Je vous le dis au bout de quarante ans, la vraie définition la vraie compréhension du socialisme c’est de s’intéresser à la psychologie de celui qui choisit d’adhérer.
Au bout du chemin voilà ce que je sais du socialisme, ce qui nous aide par ricochet pour le libéralisme, et de la seule définition correcte de cette maladie, de nature psychologique et mentale, chez certains hommes. Pas la peine d’aller chez les auteurs, je crois que ce n’est plus la peine d’écrire cinq cent pages sur le socialisme, l’impossibilité du calcul économique en économie de plan, laquelle est morte etc.
Le socialisme c’est la jalousie, sous un nom ou sous un autre il existera donc toujours, c’est la convoitise, c’est l’envie, c’est l’ulcère à l’estomac, c’est le désir de possession du bien de l’autre.
Le socialisme c’est la doctrine qui réussit à faire croire et à avaliser à ceux qui échouent que ce n’est pas de leur fait ni de leur faute mais celle de la société, du patron, du mandarin, du capitalisme, de l’innovateur, du riche, du talentueux, qui tous à des titres divers ont usurpé et lui ont volé indûment ce qui lui reviendrait de droit.
Le socialisme c’est le pansement, le médicament, la prothèse, la potion magique, le leurre, la tromperie, l’escroquerie qu’un économiste de pacotille, un économiste improvisé Karl Marx, avec ses soi-disant lois, a postulé pour dire aux uns que les autres ont réussi parce qu’ils les ont exploités.
Le socialiste est un aigri, un malheureux, mal dans sa peau, qui à travers le marché politique et la redistribution acquiert au détriment des autres ce que des clients libres des entrepreneurs libres d’acheter du travail n’ont pas voulu leur donner.
Le socialisme c’est l’achat en démocratie des suffrages des perdants en leur promettant qu’ils auront une part du gâteau sans participer à l’effort.
Le socialisme c’est flatter nos instincts les plus bas en les travestissant et en les sublimant sous le nom d’intérêt général et de justice sociale. Est un libéral, tout à l’inverse, celui qui tombe, vous et moi, qui échoue, vous et moi, mais qui se relève, tire les leçons, repart de l’avant, en se promettant tout simplement d’essayer de faire un tout petit peu mieux.
Le libéralisme c’est l’école du courage, du relèvement, de la reconnaissance de ses faiblesses mais du désir de toujours progresser, de faire un petit peu mieux, de ne pas persister dans l’erreur, de s’appuyer sur l’imitation des autres quand ils ont fait mieux que nous.
Le libéralisme est donc humilité, le socialisme est flagellation.
Le libéralisme est surpassement de soi, le socialisme acquiescement à ses échecs et transfert de responsabilités sur les autres.
Le libéralisme est une école de volonté sur soi, le socialisme est une acceptation de la médiocrité de notre condition à certains mondes.
Le libéralisme est tendu vers le plus, le socialisme est soumission et alignement vers le moins.
Le libéralisme dit aux individus surpassez-vous, et les reste viendra par surcroît, le socialisme dit aux individus faites 35 heures et le reste viendra des autres.
Le libéralisme est donc, au risque de vous surprendre, dernier point, une esthétique.
Le libéralisme est donc, au risque de vous surprendre, d’abord et enfin une esthétique du beau, du bien, du glorieux, de ce qui nous sublime et nous grandit.
Le libéralisme vise à épanouir les âmes et les esprits dans l’exercice de notre liberté et de notre responsabilité.
Le socialisme vise à l’inverse à égaliser dans la rancœur, l’envie, la jalousie, la paresse, la médiocrité, la laideur. (...)"
Professeur Serge Schweitzer
26 sept. 2013
Mes chroniques économiques
Les liens vers mes chroniques économiques au sein du Journal Toulousain pour le troisième trimestre 2013 :
Cadeau fiscal : non vol légalisé ?
Le coup culturel de trop
La Poste, un service de + en + timbré !
Suite à la réception d'un courrier, j'ai lancé une série de chronique sur toutes les inepties que l'on peut entendre sur le libéralisme de la part des élus qui ne veulent pas perdre leurs fauteuils en jouant sur la naïveté du peuple : ils s'imaginent les gardiens d'un temple qui s'effondre en réalité à cause de leurs propres actions !!!
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (1/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (2/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (3/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (4/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (5/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (6/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (7/12)
Cadeau fiscal : non vol légalisé ?
Le coup culturel de trop
La Poste, un service de + en + timbré !
Suite à la réception d'un courrier, j'ai lancé une série de chronique sur toutes les inepties que l'on peut entendre sur le libéralisme de la part des élus qui ne veulent pas perdre leurs fauteuils en jouant sur la naïveté du peuple : ils s'imaginent les gardiens d'un temple qui s'effondre en réalité à cause de leurs propres actions !!!
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (1/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (2/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (3/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (4/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (5/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (6/12)
Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (7/12)
22 juil. 2013
BHNS - Toujours et encore ... Phase de préconcertation, vous avez dit ???
La phase de pré-concertation, comme elle est appelée, sur le BHNS, est terminée. Elle a donné lieu à un document qui devrait être consultable prochainement sur le site de la Mairie. Je ne vous parle pas des engagements pris en conclusion de ce document, car cela va donner encore pas mal d'occupations à des bureaucrates (ne parlons pas ici de "travail" car tout cela sera financé par la spoliation des fruits du travail du secteur privé pour ceux qui ont encore le bonheur de payer des impôts et taxes). Ce document étant arrivé un peu tardivement, lors du conseil municipal du 09 juillet, le maire à proposé aux conseillers municipaux d'envoyer leurs commentaires. Aussi ci-dessous, vous trouverez les commentaires que j'ai fait parvenir :
BHNS
: Phase de pré-concertation "Tournefeuille"
Les
oppositions sont toujours minimisées par celui qui veut faire passer
un projet. Si les gens ne déploient pas de banderoles, sont-ils
pour autant d'accord ? Ils peuvent d'ailleurs ne pas avoir d'avis,
tout simplement parce que ce projet ne les concerne pas, même s'ils
sont imposés ou taxés pour le financer. Aujourd'hui le système
politique ne leur offre pas d'autre alternative que subir sans vrai
débat.
100
à 150 personnes participantes sur 6 réunions, c'est tout au plus
entre 600 et 900 personnes. Sachant que des personnes sont venues
plusieurs fois et pas exclusivement de Tournefeuille, cela ne permet
pas de savoir dans quelle catégorie peut se ranger en toute
transparence chaque participant comptabilisé. C'est très largement
insuffisant pour dire que le projet est bien accueilli au regard du
nombre d'habitants. Évitons d'appliquer la méthode Coué, car en
général, c'est au fur et à mesure que les gens prennent conscience
des aspects négatifs d'un projet, et que les oppositions
s'amplifient.
En
toute objectivité sur l'intérêt du projet, je serai d'avis qu'une
association du genre "pour le BHNS Ouest" soit créée. Le
pouvoir politique actuel balaiera-t-il une telle initiative de peur
de voir l'inanité du BHNS et la vacuité de ses instigateurs
démontrées ? Aurait-il peur de voir des projets concurrents se
monter ou une association "contre le BHNS" avoir plus de
succès, dévoilant les vrais priorités ? N'est-ce pas pourtant la
démocratie que de laisser les citoyens décider ce qui est bon pour
eux et au pouvoir politique de leur garantir leurs droits de
s'organiser ? En tout état de cause, ce n'est pas à une oligarchie
élue appuyée par des bureaucrates de décider de l'avenir des
quartiers, mais aux habitants, qui outre d'être les financiers bien
malgré eux du projet, sont aujourd'hui les payeurs de ce joli monde.
Ce
projet n'est pas un investissement d'intérêt général : il n'est
qu'un transport en commun destiné à une clientèle restreinte en
compétition avec d'autres moyens de transport. La fréquentation des
bus est très insuffisante pour envisager une telle issue fatale sans
volonté générale. La fréquentation est d'ailleurs le point le
plus critique qui aurait déjà dû faire abandonner toute avancée
supplémentaire. Dans aucune ville de France, un tel projet n'aurait
été lancé sur les bases existantes. Même pas 3000 voyageurs/jour
pour le 65 et on veut nous faire croire que l'on va nous emmener en
2020 avec 39 000 voyageurs/jour (il est dit d'ailleurs 18 000 entre
Plaisance et Tournefeuille !!!). Quand on sait que le tramway sur
Blagnac arrive péniblement à 20 000 voyageurs/jour avec une autre
configuration de population, il y a de quoi être inquiet sur ces
prévisions sorties d'un chapeau. De quelle manière les Tournefeuillais seront-ils mangés une fois que le fiasco de ce
projet se concrétisera ? Car même en densifiant la commune à la
manière d'un Ceausescu, pourquoi prendre un tel transport en commun
alors qu'aucune zone d'activité importante n'est desservie ? Pour
prendre le train ? Combien de Tournefeuillais vont à Matabiau chaque
jour ? Aller aux spectacles à Toulouse ou venir à ceux de
Tournefeuille ? C'est évidemment une plaisanterie qui n'est pas d'un
goût douteux...
Car
le coût de ce projet n'est pas qu'une bagatelle et est une nouvelle
gabegie de dépense publique en fonctionnement supplémentaire. 180
millions, c'est un engagement financier déjà bien trop élevé
quand aux risques d'échec qu'il représente. On nous le présente
comme un moyen d'avenir, il appartient au passé en manquant
particulièrement de souplesse en terme de desserte et en venant
entraver un peu plus la circulation déjà difficile. C'est la
mobilité individuelle qu'il faut encourager, pas la rigidité d'un
moyen collectif. La configuration de la ville de Tournefeuille n'a
pas du tout été préparée et aménagée pour accueillir un tel
moyen de transport. Les questions et interrogations lors des réunions
démontrent que le terrain du trajet n'est qu'un flot d'incertitudes
et d'atteintes futures à la propriété.
Evidemment,
une fois achevé, pour éviter que cet échec ne se transforme en
fiasco politique et économique, des mesures de densification à
marche forcée avec menace d'expropriation devront être prises
autour de l'axe BHNS comme c'est le cas aujourd'hui autour de la
ligne du tramway à Blagnac.
Patrick
AUBIN / Conseiller municipal Tournefeuille
Avis
fourni suite à Conseil municipal de Tournefeuille du 09 juillet 2013
28 juin 2013
Mes chroniques économiques
Baisser les chiffres du chômage ? Facile !
Un retour... loin d'être franc
Casse-toi pauvre amazon !
Football : carton rouge pour l'hyper fiscalité !
Un retour... loin d'être franc
Casse-toi pauvre amazon !
Football : carton rouge pour l'hyper fiscalité !
BCE : la Banque du Crime Economique
BPI : la Banque du Parasite Irreversible
Délit moche hein !
A l'ESS, rien de nouveau !
A quand l'absolution économique ?
Dis moi quel est ton patrimoine et je te dirai ...
La vraie fin du voyage
Immobilier : le duflot dilue le capital !
Chypre : la première d'un printemps européen ?
BPI : la Banque du Parasite Irreversible
Délit moche hein !
A l'ESS, rien de nouveau !
A quand l'absolution économique ?
Dis moi quel est ton patrimoine et je te dirai ...
La vraie fin du voyage
Immobilier : le duflot dilue le capital !
Chypre : la première d'un printemps européen ?
10 juin 2013
Réunion publique du 10 juin
L'enfumage classique fonctionne assez bien dans ce type de réunion. Les Tournefeuillais ont eu droit à une nouvelle séance avec un maire qui est, il faut bien le dire, assez adroit pour ce genre d'exercices où il est passé maître dans l'art du mépris ou du dénigrement des questions dérangeantes.
Pour qui a suivi cette réunion, il y a de quoi s'interroger pour savoir qui exerce le pouvoir aujourd'hui : la bureaucratie à travers le préfet, ou le peuple à travers ses représentants politiques ? Ces derniers sont-ils au service des citoyens ou de la nomenklatura ?
Faire peur en indiquant que si la municipalité ne fait pas les logements sociaux, ce sera le préfet qui lui ne fera pas dans la dentelle, entre expropriations et immeuble avec 100% de logements sociaux, c'est bien se moquer du monde. Et pour démontrer que l'épée de Damoclès pèse au dessus des Tournefeuillais, lui le gentil maire n'a pas hésité à présenter un méchant courrier de la méchante administration. Densification il y a, densification il doit y avoir. La cause doit être entendue.
Notre démocratie sombrerait-elle dans l'arbitraire ? sert-il à quelle chose d'aller voter ? C'est bien ce que veut nous faire comprendre le gentil maire qui se pose en protecteur de ses propres basses manœuvres : c'est soit lui, soit le néant de l'administration, celle qui se contente de suivre bêtement les règlements, comme à ses plus belles heures durant la guerre de 39-45. La soviétisation de la société française est bel et bien réelle.
Lui l'énarque qui est actuellement dans la politique, donne ainsi beaucoup d'importance à la haute fonction publique qu'il occuperait s'il venait à ne plus être élu... tout en restant payé par le contribuable qu'il peut mépriser d'une manière ou d'une autre... Elle est pas belle la vie ?
D'ailleurs, j'ai comme un pressentiment suite à cette réunion : ce gentil maire va être prêt à sacrifier sa maison pour montrer l'exemple. Pour s'installer où ? Là où il n'y a pas de transport en commun de prévu et où il reste encore quelques terrains sympathiques. Tournefeuillais, dormez tranquilles, le maire veille sur vos terrains... Si vous ne savez pas ce qui est bien pour vous, lui sait ce qui est bien pour vous !!!
Pour qui a suivi cette réunion, il y a de quoi s'interroger pour savoir qui exerce le pouvoir aujourd'hui : la bureaucratie à travers le préfet, ou le peuple à travers ses représentants politiques ? Ces derniers sont-ils au service des citoyens ou de la nomenklatura ?
Faire peur en indiquant que si la municipalité ne fait pas les logements sociaux, ce sera le préfet qui lui ne fera pas dans la dentelle, entre expropriations et immeuble avec 100% de logements sociaux, c'est bien se moquer du monde. Et pour démontrer que l'épée de Damoclès pèse au dessus des Tournefeuillais, lui le gentil maire n'a pas hésité à présenter un méchant courrier de la méchante administration. Densification il y a, densification il doit y avoir. La cause doit être entendue.
Notre démocratie sombrerait-elle dans l'arbitraire ? sert-il à quelle chose d'aller voter ? C'est bien ce que veut nous faire comprendre le gentil maire qui se pose en protecteur de ses propres basses manœuvres : c'est soit lui, soit le néant de l'administration, celle qui se contente de suivre bêtement les règlements, comme à ses plus belles heures durant la guerre de 39-45. La soviétisation de la société française est bel et bien réelle.
Lui l'énarque qui est actuellement dans la politique, donne ainsi beaucoup d'importance à la haute fonction publique qu'il occuperait s'il venait à ne plus être élu... tout en restant payé par le contribuable qu'il peut mépriser d'une manière ou d'une autre... Elle est pas belle la vie ?
D'ailleurs, j'ai comme un pressentiment suite à cette réunion : ce gentil maire va être prêt à sacrifier sa maison pour montrer l'exemple. Pour s'installer où ? Là où il n'y a pas de transport en commun de prévu et où il reste encore quelques terrains sympathiques. Tournefeuillais, dormez tranquilles, le maire veille sur vos terrains... Si vous ne savez pas ce qui est bien pour vous, lui sait ce qui est bien pour vous !!!
2 mai 2013
Refus de cette fatalité
Mon droit d'expression d'élu dans Tournefeuille Information :
Moins d'un
an et le conseil municipal sera renouvelé. La commune est depuis
toujours aux mains d’étatistes. La France, les
autres collectivités locales aussi. La droite,
tout autant étatiste, ne fera pas mieux. Elle
l'a déjà prouvé. Si vous êtes convaincu de l’urgence de tourner la page de
cette démocrassie de connivence,
contactez-moi pour partager un avenir meilleur que misère et dettes publiques... Ne soyons plus esclaves du système. Mais libres et responsables. Ne laissons plus la
bureaucratie diriger nos vies. Ne laissons plus ce système se servir au lieu de servir les citoyens. Le pouvoir
revient au peuple, pas aux oligarchies élues. Retrouvons le dynamisme économique et l'emploi grâce
à la liberté, voilà la seule option sociale réaliste... Le droit de l'être
avant le droit d'avoir !
Contact :
patrick.aubin31@gmail.com
Suite sur
http://patrickaubin.blogspot.fr/
Voici la suite :
Et d'étrangers qui ont marqué leur époque :

Etes-vous
prêts à lire et à entendre des choses différentes de la soupe que nous verse la
droite et la gauche, ainsi que leurs extrêmes, en France ?
Non
pas des choses nouvelles, car il n'y a rien à inventer sur le plan politique,
mais des choses que nos gouvernants ont enterrées progressivement pour leur propre intérêt de nuisances.
Des
choses qui nous viennent du siècle des Lumières mais qui n’arrangent pas l’abus
de pouvoir, la confiscation du pouvoir : nos ancêtres ont fait tombé le pouvoir
absolu, mais ils ont oublié en cours de route le chemin tracé.
Les
gouvernants d'aujourd'hui nous promettent beaucoup de choses mais c’est
toujours avec notre argent tout en se servant au passage. Ils nous ont illusionnés
et ce que nous récoltons aujourd'hui, c'est une montagne de dettes avec une
crise de laquelle nous n'en sortirons pas, car ils n'ont pas de solution. Ils
ont transformé les droits de l'être en droit d'avoir … mais toujours à notre
détriment !!!
Le
droit de vote s'est transformé, avec les promesses électorales des hommes
politiques qui utilisent l'argent des autres pour les satisfaire, en droit de
voler légalement son voisin par des impôts et taxes toujours en croissance. Mais
ce n'est pas en déshabillant Pierre pour habiller Paul, que les deux sont plus
heureux : le riche fuit, celui qui a la possibilité de le devenir part, et la
misère s'installe durablement chez ceux qui restent en dehors de l'oligarchie
qui continue à se servir allègrement !!!
Toutes ces dépenses publiques donnent l'illusion de progrès. Mais le vrai progrès ne viennent pas de la politique : pouvez-vous citer les innovations françaises issues de l'état sur ces 25 dernières années qui a fait que la France est économiquement forte ? L'aéronautique qui nous touche, nous les toulousains ? Non, elle est bien plus ancienne, l'aviation mondiale est né à Toulouse, il y a déjà fort bien longtemps. Plus l'état intervient dans l'économie, et pire la situation est. Et si vous pensez que le mille-feuilles administratif lié à la décentralisation est une merveille de fonctionnement simple et peu coûteux, servant le citoyen et les entreprises dans des délais courts, il est vraisemblable que vous n'avez pas un emploi privé qui vous fait vivre. Les élus de la commune de Tournefeuille apprécient particulièrement ce système qui leur attribue généreusement des subventions. Vous l'aurez surement compris, ils apprécient ce système plutôt que de devoir lever des impôts au sein de la commune pour masquer le niveau de leurs dépenses : ils préfèrent l'opacité à la transparence. En fait, pour vous donner une idée, la commune dépense plus de trois fois ce que les tournefeuillais payent en impôts locaux : par exemple si le cumul de vos propres taxes locales (habitation et foncières) représente 3 000 euros au niveau de votre foyer, la commune en dépense plus de 9 000 !!! Et pour vous, c'est une dépense obligatoire ! A vous de vous serrer la ceinture, eux ils n'ont aucune contrainte si ce n'est d'entretenir l'illusion que vous êtes libres !
Les
élus de la commune de Tournefeuille, grâce aux statistiques toutes aussi
biaisées les unes que les autres, minimisent la dette. Mais tout est relatif,
et c'est une dette publique de trop : elle représente environ une fois et demi
le montant des impôts locaux annuels. De plus des dettes communales
supplémentaires sont réparties dans des officines comme le CCAS (Centre
communal d'action sociale) ou le SDEHG (Syndicat départemental de l'électricité
de Haute Garonne). La commune garantit également des prêts à des offices privés
d'HLM. N'oublions pas non plus l'intercommunalité dans laquelle siège des élus
de la commune qui sert de réceptacle d'achats immobiliers sur la commune.
Toutes ces dettes reposent exclusivement sur votre argent et celui de nos
entreprises. Et nous, nous nous fonctionnons comment pour faire développer nos
entreprises ? Il faut comprendre une bonne fois pour toute que les impôts et
taxes ne créent pas de richesses, car si c'était le cas, les politiques
n'auraient pas besoin de nous ponctionner. Et toute dette publique est une
escroquerie supplémentaire sur les citoyens car même ce qu'ils appellent de
l'investissement est du fonctionnement. Alors ne nous étonnons pas que
l'économie ne trouve plus les moyens de se financer et que l'emploi chute.
Et
les élus actuels de la région toulousaines veulent continuer dans leurs dépenses
avec l'arrivée d'un BHNS (Bus à Haut Niveau de Service) pour remplacer la ligne
65... alors que les transports en commun sur la commune ne séduisent pas la
population. Sur cette ligne 65, le maire a tellement honte du chiffre de la
fréquentation, qu'il annonce celle-ci sur la base d'une année : 1 millions de
voyageurs/an !!! Ce n'est même pas 3 000 voyageurs/jour. Pour faire cette
ligne, l'Avenue Vincent Auriol devra être cassé alors qu'elle a été refaite il
y a à peine 10 ans. Comme vision à court, moyen et long terme, il est possible
de faire beaucoup mieux !
Les
élus de Tournefeuille, et en particulier le premier édile, adorent parler de
solidarité, et pour cause car il est également un cumulard de fonctions et d'indemnités
: merci brave peuple de vos offrandes !!!
Jouer
sur les sentiments est une technique vieille comme le monde pour s'attirer les
naïfs. Et à Tournefeuille, nous avons une coalition politique de la pomme pas
mure (verte) jusqu'à la pomme bien mure (rouge) en passant par la rose. La
pomme orange et la pomme bleue ont aussi cédé aux chants des sirènes de ce
système social que tout le monde nous envient... mais que personne ne veut
surtout adopter !!! Mais nos élus tirent aussi sur la corde des subventions
issues de ce système - par exemple de la CAF (Caisse d'allocations familiales)-
alors qu'il est en instance d'exploser et de déposer le bilan. Bon tant qu'il y
a encore quelques français pour payer, profitons-en un maximum !!! A l'instar
de son modèle soviétique, le dinosaure aura tenu environ 75 ans. Et maintenant
qu'ils ont pillé les entreprises et les citoyens français, les cigales sont en
train de crier famine et lorgnent déjà sur l'argent des fourmis allemandes.
Lamentable !!!
Puisque
nous évoquons une fable de La Fontaine, restons dans le domaine de la culture,
un domaine dans lequel excelle cette formidable municipalité pour avoir réalisé
le tour de force de bâtir deux salles de spectacles en moins de 5 ans. Pardon,
plus qu'une seule puisque le Phare doit être appelé, comme me l'a rappelé un
jour en conseil municipal, le toujours maire de cette commune, une "salle
polyvalente". En effet, les artistes qui sont passés par ce "gymnase
amélioré" ont trouvé un léger défaut dans la sonorité et ne sont pas près
d'y revenir... et celà est maintenant connu dans la profession. Encore des
dépenses et des emprunts inutilement engagés...
Vous
aurez surement noté que le milieu associatif à Tournefeuille est d'une richesse
extraordinaire, à défaut d'avoir des entreprises qui créent de la richesse.
Vous pouvez créer la moindre association, une oreille attentive de la
municipalité se dressera et on vous fera les yeux doux. J'ai de quoi écrire un
livre d'anecdotes dans ce domaine. Le clientélisme et les conflits d'intérêts
des élus ou membres de leur famille qui en résultent est tout aussi
extraordinairement riches. Il est aussi très intéressant de faire des
rapprochements entre les entreprises qui répondent à des appels d'offres sur la
commune et celles qui financent des associations communales. Une corruption
insidieuse existe mais comme cela fonctionne au grand jour, plus personne n'y
prête attention.
Tout
ce système de copinage local qui dure depuis toujours sur la commune de
Tournefeuille entraîne des réflexes qui appauvrissent l'économie et donc, nous,
les citoyens. Nous ne devrions pas voter pour nous faire piller, mais pour nous
garantir nos droits naturels et imprescriptibles que sont la liberté, la
propriété, la sécurité et la résistance à l'oppression. Et pourtant, nous
continuons à croire en l'homme politique providentiel qui va nous raser
gratuitement. Et pour nous raser, nous sommes gâtés.
Ceux
qui pâtissent le plus de cette situation au sein en France comme dans la
commune sont les plus faibles qui perdent leurs emplois, mais également les
retraités qui ne peuvent plus payer leurs impôts locaux, voire contraints de déménager.
D'ailleurs,
avec la modification du plan d'urbanisme à Tournefeuille, de sérieuses menaces
pèsent sur les propriétés des uns et des autres : l'actuelle municipalité a
décidé d'une densification de la manière de ce que les dirigeants de l'ex-URSS
avaient pu faire en leurs temps ou ce que les pays collectivistes ont ou
décident en matière d'aménagement. malgré que la plupart des villes de France
sont aux mains des socialistes ou d'étatistes, malgré tout l'interventionnisme
politique dans l'immobilier, malgré tous les plans et règlements urbains,
l'économie ne fonctionne pas mieux pour autant, bien au contraire.
Or
le pouvoir est au peuple, les élus ne doivent être que les représentants du
peuple. Et il existe une anomalie que le peuple n'a pas encore su traiter (dans
très peu de pays au monde) : c'est que les élus (élus par une partie du peuple
- le plus souvent sont minoritaires) se sont érigés en dirigeants et veulent
construire une société que les autres parties du peuple refusent (qui se
retrouvent souvent majoritaires). Le peuple est donc divers et si la démocratie
consiste à utiliser la violence de l'Etat pour qu'une majorité minoritaire
imposer ses projets aux minorités majoritaires, alors c'est que nous sommes en
dictature et qu'il faut passer à autre chose de moins conflictuel. En tout état
de cause, il ne faut plus faire confiance à des élus pour faire évoluer la
société : la société sait évoluer seule sans avoir besoin de lois et règlements
pléthoriques aussi inefficaces que stupides qui ne servent qu'à occuper une
bureaucratie. La loi doit être simple et comprise de tous, et surtout
universelle : tout le reste doit être de l'ordre du domaine des contrats entre
privés.
Le
plus urgent est en effet de retrouver le chemin de l'activité privée et de
supprimer la possibilité aux politiques de gesticuler et de brasser du vent. La
politique c'est le droit, et l'Etat, ce sont les fonctions régaliennes.
Voir
la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 (base constitutionnelle)
:
http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/dudh/1789.asp).
Aussi,
il est nécessaire de recentrer les élus locaux vers les fonctions régaliennes,
celles de la garantie des droits naturels et imprescriptibles : n'oublions pas
- et je n'invente rien - que le maire est censé être depuis toujours le premier
magistrat sur la commune. Et si les magistrats des tribunaux sont laxistes avec
la délinquance - là aussi, je n'invente rien, le constat est sévère et la
police n'en peux plus de leurs actions inutiles -, les élus doivent être en
mesure de peser dans les décisions sur des actes qui concernent leur commune :
l'indépendance des pouvoirs ne doit pas empêcher les critiques par les citoyens
et la remise en cause de leur fonctionnement. C'est donc bien sur le terrain des fonctions régaliennes, et
notamment pour garantir leur sécurité, que les citoyens sont en droit
d'attendre des actes forts de leurs élus. Il y a une urgence à instituer sur
les quartiers une véritable politique de sécurité, avec la police nationale et
la police municipale, afin de renverser la peur : ce sont les délinquants qui
doivent vivre l'insécurité. Et c'est bien aux citoyens de décider dans la cité
ce que leurs quartiers doivent être pour ne plus craindre l'agression.
Alors
fini le social avec le méchant libéral que je suis et qui ne s'intéresse qu'à
son pognon et à la sécurité comme le prétendent ceux qui dénigrent le
libéralisme soit avec le retour à l’âge de pierre soit avec la loi de la jungle
et en l’affublant de préfixes tel que « ultra » ou « néo »
?
Tout
d'abord, tordons le coup au dénigrement du libéralisme : le libéralisme est une
morale politique fondée sur le fait de ne pas faire à autrui ce que l’on ne
veut pas qu’autrui nous fasse. Cela repose sur la défense du faible à travers
le droit. Pourquoi le social devrait toucher collectivement tout le monde et
passe par une organisation nommée « état » ? Quelle justification
morale ou scientifique à cela ? Que ceux qui sont pauvres ne puissent pas se
payer les soins ? Mais de qui se moque-t-on, doit-on avoir des pauvres pour s’occuper
de sa santé ? Et qui mieux que nous-même peut savoir ce qui nous convient ?
Si
un citoyen est responsable pour voter, il est tout autant responsable de sa
propre vie : il est en mesure de choisir une assurance santé, de faire des
choix pour sa retraite ou son chômage. Arrêtons de l'infantiliser car à ce
moment-là, il n'est plus en mesure de voter. Quand on voit aujourd'hui la
gabegie et la quasi-faillite des mécanismes collectivistes qui ont été mis en
place depuis 1946, on peut se dire que ce gâchis aurait pu être évité.
Les
associations ou fondations, si elles ne sont plus subventionnées, peuvent très
bien recevoir des dons des personnes physiques et morales. Un citoyen ou un
dirigeant d'entreprise peut très bien choisir librement et volontairement les
associations à qui il souhaite faire des dons. C'est leur argent, et il n'y a
aucun risque de conflit d'intérêt, car votre argent vous pouvez le dépenser comme bon vous semble. C'est sans intermédiaire, directement et net dans les
caisses de l'association. Cela évite de passer par l'arbitraire de la
distribution clientéliste politique et la ponction administrative tout à fait
inutile. Et si certaines associations ne sont pas transparentes, les citoyens auront
tôt fait d'en trouver de plus sérieuses.
Alors
oui l'illusion socialiste, tout le monde est en train de la découvrir au fur et
à mesure. Le socialisme ne sait que piller l'argent des autres pour pouvoir
fonctionner. Et quand l'argent vient à manquer, c'est la fuite en avant le
crash. La droite en France n'est pas mieux : elle est étatiste et conservatrice
du socialisme. Elle n'a jamais déconstruit ce que les socialistes ont mis en
place comme horreurs économiques.
Toute
collectivité locale, année après année, en votant des budgets qui comportent
des subventions directes et indirectes en provenance de l'état, porte une
lourde responsabilité dans la catastrophe des finances publiques de la France.
Les élus de la commune de Tournefeuille, dont le budget est à plus de la moitié
financé par des subventions, font partie des fossoyeurs de l'économie. J'ai été
le seul à dénoncer durant mon mandat de tels agissements qui nous conduisent à
la ruine.
Car
avec l'état-providence, ce que nous avons récolté c'est l'oppression fiscale,
l'insécurité économique et le vol légalisé de nos revenus : chaque salarié
après cotisations sociales (salariales et patronales), impôts et taxes divers
et variés, ne dispose plus qu'environ du 1/3 de ce qu'une entreprise mobilise
pour lui. Oui quand vous avez échangé 1 000 euros pour vous, l'entreprise vous
aura payé 3 000 euros, les 2 000 euros sont partis pour financer des choses que
vous ne contrôlez pas, mais que les politiques ont définies comme étant pour
votre bonheur !!! Ce sont ces mêmes socialistes qui avaient décidé que
Tournefeuille serait une ville pavillonnaire dans les années 80-90. Vous me
direz surement qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, mais
il ne faut pas non plus prendre les citoyens pour des gogos. Pour tous ceux qui
ont des doutes sur la manière d'agir des élus, allez faire un tour du côté de
Blagnac avec le tramway, tramway qui est d’ailleurs très loin d’atteindre les
chiffres de fréquentation que les étatistes de droite promettaient.
Si
évidemment le législatif ne dépend pas de la commune et de l'intercommunalité,
comme le code du travail qui mérite plus qu'un toilettage (notez par exemple
que le code du travail suisse se lit dans le train Paris-Lausanne et qu'il
n'existe pas de SMIC : est-ce que les suisses sont des esclaves ou des
esclavagistes, des antidémocrates ou un pays de pauvres ?), d’une manière
générale, les élus se mêlent malgré tout de choses qui ne les regardent pas en
détournant de l’argent qui ne leur appartient pas. Outre une sévère taille dans
les subventions, un arrêt total des emprunts, de l'intervention dans le domaine
de la culture et des sports, de suppression des frais de communication
inutiles, il est indispensable de donner aux citoyens la responsabilité de
gestion et de l'organisation de leurs quartiers. C'est en réduisant le poids et
la lourdeur de l'intervention municipale que les impôts et taxes se réduiront
sur les citoyens et les entreprises, leur permettant de retrouver du pouvoir
d'achat. C'est en retrouvant le chemin des marchés privés que les citoyens
redonneront du dynamisme à l'économie avec un retour à la création d'emplois.
L'étatisme c'est le chemin de la misère.
Aussi
ce n'est pas en reconduisant la majorité communale socialo-communiste actuelle
qui se refuse à baisser les impôts parmi les plus élevés de France, que
l'économie aura une chance de repartir. Tout comme les ministres du
gouvernement, ces élus sont essentiellement issus du secteur public ou
d'entreprises qui dépendent très largement du financement public. Aucun ne peut
justifier d'une activité privée réussie en développement d'entreprise... pas
même le maire.
En les reconduisant, et avec un état socialiste qui va réduire
les subventions de l'état vers les collectivités locales pour tenir les
objectifs de réductions de dépenses publiques pour reculer l’échéance de la
catastrophe, le risque est fort que les élus socialistes locaux, face à leurs
propres dépenses communales, se trouvent dans l'obligation d'augmenter les
impôts locaux pour maintenir le niveau de leurs dépenses excessives. Il faut
ainsi noter que le coût du personnel communal est supérieur à ce que rapportent
tous les impôts locaux !!! Alors si vous refusez cette fatalité du crash final,
il est temps de prendre des mesures drastiques dans l'organisation de l'état
français et de son mille-feuille, à commencer par la commune : continuer à
faire l'autruche, n'empêchera pas le tsunami des finances publiques françaises
d’arriver et de tout balayer. Mais ce jour-là, il faudra quand même des libéraux
pour repartir du bon pied et dans la bonne direction.
Alors
pour nos collectivités locales, c'est la même chose, les citoyens les ont
laissé faire et les élus interviennent dans les domaines en dehors du champ des
fonctions régaliennes. Plus elles ont pris d’importance, et plus le phénomène
de tsunami des finances publiques a été amplifié. Mais vous avez la possibilité
de faire changer le cours des choses en reprenant connaissance de ce que les
philosophes des Lumières ont apporté avec le libéralisme... ce libéralisme qui
ne prend aucune ride à travers le temps qui passe, alors que toutes les
expériences de transformer l'homme dans l'égalitarisme sont tombées et tombent
au fur et à mesure... voici quelques extraits de philosophes libéraux français :
Et d'étrangers qui ont marqué leur époque :

Oui,
NOUS avons la possibilité de ne pas nous laisser enfermer dans la prison
socialiste ou étatiste : les fruits de notre travail nous appartiennent et
c'est à chacun de nous d'en avoir la responsabilité de distribution, pas à des
oligarchies élues dont le seul but est l'imposition ou la taxation.
L'organisation du contrat social de "liberté, égalité et fraternité"
est à construire autrement que par la spoliation toujours plus grande de
l'arbitraire politique, qu'il soit national ou local. Le pouvoir politique doit
être limité aux fonctions régaliennes, car en se mêlant de tout, il assume très
mal et engendre les pires malheurs et corruptions. Contactez-moi si vous
souhaitez que notre commune trouve un développement parce que ces citoyens le
décideront et auront limité le pouvoir politique à ce qu'il aurait dû toujours
être.
LE
POUVOIR D’ÊTRE ENSEMBLE,
PAS
CELUI D'AVOIR
AU
DÉTRIMENT DES AUTRES
29 mars 2013
Mes chroniques économiques
Les liens vers mes chroniques économiques au sein du journal toulousain pour le premier trimestre 2013 :
France prison fiscale ?
Pas assez riche la patisserie francaise ?
Locations, le-dégel n'est pas pour demain
Les taxis nous taxent
Vers la légalisation de l'escroquerie à la location
L'exception culturelle : une hérésie économique et sociale
Boeuf au cheval : heureusement y-a les tocards!
L'aide alimentaire source de famine!
Economie de la culture : inculture économique
Prime à la crasse économique
La monnaie, mystérieuse inconnue
Au pays de la dictature sociale
Devenir abonné au journal Toulousain
France prison fiscale ?
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