SERMENT DE JOHN GALT

Je n'aime pas les boîtes noires. "Je jure, sur ma vie et l'amour que j'ai pour elle, de ne jamais vivre pour les autres, ni demander aux autres de vivre pour moi" JOHN GALT ("La GREVE" Ayn RAND)

Nous sommes sous monopole socialiste et la fin de l'histoire sera le choix entre désordre et délire. Mais c’est l’affaire de la gauche... et de la droite. Pour une fois, on ne pourra pas incriminer le libéralisme, qu'il soit néo, ultra ou autre chose, et le pouvoir hégémonique en France sera tenu pour seul responsable de la crise qui va venir et des mesures qu’elle appellera, bon gré mal gré.

Les libéraux doivent s'organiser pour constituer leur force en éclairant l’opinion publique. Celle-ci sera très vite désorientée par les initiatives du nouveau pouvoir, les promesses électorales envolées et les réalités économiques et sociales stupidement ignorées, révéleront au grand jour l'incompétence et l'impuissance de la politique à faire vivre durablement la Société.

La relance libérale sera alors devenue une nécessité lorsque les citoyens découvriront que l'horreur n'était pas ce qu'on leur présentait !!! Patrick AUBIN (juin 2012)

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11 juin 2010

UTOPIA : engagement pro-palestinien ou plutôt pro-Hamas ?

Les salles Utopia ont décidé de déprogrammer le film israélien "À 5 heures de Paris". Cette décision est motivée pour signifier leur "désapprobation concernant l'agression israélienne contre les navires pacifistes qui voguaient vers Gaza."

Mais n'est-ce pas se tromper de combat ? Car la programmation prévoit de le remplacer par un film franco-israélien. Une telle attitude démontre qu'Utopia fait une fois de plus un amalgame en utilisant la culture comme un outil politique, voire fait de la politique politicienne en utilisant le terrorisme intellectuel.

Ceci se montrera contre-productif comme tout boycott indirect. C'est d'ailleurs ignoré que le cinéma israélien est pourtant un des cinémas qui se montre le plus critique envers ses dirigeants politiques...parce qu'Israel est une démocratie...qui ne doit pas être du goût de la direction d'Utopia qui préfère que la culture soit dirigée. Elle préfère défendre les dictatures et ceux qui leur ressemblent le plus : les terroristes.

L'aide humanitaire est une chose qui ne peut se satisfaire d'actes décalés ou peu transparents : il serait souhaitable que le réseau Utopia considère les films israéliens à leur juste valeur comme des oeuvres subversives à l'égard du gouvernement de leur pays...il sera alors dans son rôle de cinéma d'art et d'essai et non de cinéma engagé au service d'un "camp politique"...

La liberté ne se négocie pas ! Et une culture prisonnière ou esclave d'un pouvoir politique n'est que propagande au service de ce pouvoir...

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