SERMENT DE JOHN GALT

Je n'aime pas les boîtes noires. "Je jure, sur ma vie et l'amour que j'ai pour elle, de ne jamais vivre pour les autres, ni demander aux autres de vivre pour moi" JOHN GALT ("La GREVE" Ayn RAND)

Nous sommes sous monopole socialiste et la fin de l'histoire sera le choix entre désordre et délire. Mais c’est l’affaire de la gauche... et de la droite. Pour une fois, on ne pourra pas incriminer le libéralisme, qu'il soit néo, ultra ou autre chose, et le pouvoir hégémonique en France sera tenu pour seul responsable de la crise qui va venir et des mesures qu’elle appellera, bon gré mal gré.

Les libéraux doivent s'organiser pour constituer leur force en éclairant l’opinion publique. Celle-ci sera très vite désorientée par les initiatives du nouveau pouvoir, les promesses électorales envolées et les réalités économiques et sociales stupidement ignorées, révéleront au grand jour l'incompétence et l'impuissance de la politique à faire vivre durablement la Société.

La relance libérale sera alors devenue une nécessité lorsque les citoyens découvriront que l'horreur n'était pas ce qu'on leur présentait !!! Patrick AUBIN (juin 2012)

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5 mars 2010

Après la Grèce...un jour la France...

Pour la Grèce, ça ne s'appelle pas une faillite...mais ça y ressemble...pour les états on nomme cela cure ou plan d'austérité mais c'est tout simplement la conséquence de dépenses qui ont été supérieures aux recettes pendant une période avec une incapacité à redresser la situation qui dérive constamment. Au lieu de déposer le bilan et d'être liquidé (un état existe toujours, c'est en cela qu'on dit qu'il ne peut pas faire faillite), les dirigeants d'un pays en situation de quasi-faillite se doivent de réajuster le fonctionnement de son administration à la richesse que ses citoyens et administrés sont en mesure de créer.

Rien de plus logique, et la France devra suivre cette logique de la contrainte si elle ne s'adapte pas par elle-même.

L'explosion de son train de vie en gratifiant les retraites des fonctionnaires et de ses élus dans des proportions exagérées, ses dépenses de santé, ses dépenses d'assistanat, ses ponctions fiscales au delà du raisonnable sur l'économie...et j'en passe et des meilleures...tout concoure à cette adaptation.

Certes nous avons besoin d'être administré mais pratiquement aujourd'hui 1 emploi sur 4 en France est occupé par un fonctionnaire ou assimilé. Et les actifs du privé doivent aussi financer nos ainés et nos enfants. La charge sur les actifs devient rédhibitoire. Oui trop c'est trop...et ce n'est surement pas avec une vision type collectiviste dans laquelle nous baignons déjà depuis plus d'un siècle que la France s'en sortira. Pour 100 euros produits, presque 60 euros passent aujourd'hui par les mains de l'Etat.

Dans quelle situation se trouve-t-on lorsque les 100 euros produits passent par les mains de l'Etat ? dans un régime communiste qui devient incapable de maitriser son inflation!

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