SERMENT DE JOHN GALT

Je n'aime pas les boîtes noires. "Je jure, sur ma vie et l'amour que j'ai pour elle, de ne jamais vivre pour les autres, ni demander aux autres de vivre pour moi" JOHN GALT ("La GREVE" Ayn RAND)

Nous sommes sous monopole socialiste et la fin de l'histoire sera le choix entre désordre et délire. Mais c’est l’affaire de la gauche... et de la droite. Pour une fois, on ne pourra pas incriminer le libéralisme, qu'il soit néo, ultra ou autre chose, et le pouvoir hégémonique en France sera tenu pour seul responsable de la crise qui va venir et des mesures qu’elle appellera, bon gré mal gré.

Les libéraux doivent s'organiser pour constituer leur force en éclairant l’opinion publique. Celle-ci sera très vite désorientée par les initiatives du nouveau pouvoir, les promesses électorales envolées et les réalités économiques et sociales stupidement ignorées, révéleront au grand jour l'incompétence et l'impuissance de la politique à faire vivre durablement la Société.

La relance libérale sera alors devenue une nécessité lorsque les citoyens découvriront que l'horreur n'était pas ce qu'on leur présentait !!! Patrick AUBIN (juin 2012)

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15 mars 2010

Tirer des enseignements...

...de victoires d'un scrutin avec tant d'abstentionnistes relève de l'hypocrisie habituelle des politiques.

Avec une telle abstention pour des élections locales, les pouvoirs sortants des régions doivent d'abord se poser des questions.

En effet, la sanction du pouvoir national existe du fait que les électeurs de leur propre camp s'abstiennent...comme ils avaient pu s'abstenir en 2004.

Mais cette abstention est complétée par une abstention supplémentaire qui vient démontrer que les français ne croit pas dans les solutions de la gauche car les compétences des régions sur l'économie et sur la formation sont aussi un échec.

Attitude passive et manque d'ambition dans la relance, impôt en hausse pour financer leur propagande et opposition idéologique au gouvernement, les présidents socialistes portent une lourde part de responsabilité dans la crise de confiance entre les citoyens et les collectivités locales.

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