SERMENT DE JOHN GALT

Je n'aime pas les boîtes noires. "Je jure, sur ma vie et l'amour que j'ai pour elle, de ne jamais vivre pour les autres, ni demander aux autres de vivre pour moi" JOHN GALT ("La GREVE" Ayn RAND)

Nous sommes sous monopole socialiste et la fin de l'histoire sera le choix entre désordre et délire. Mais c’est l’affaire de la gauche... et de la droite. Pour une fois, on ne pourra pas incriminer le libéralisme, qu'il soit néo, ultra ou autre chose, et le pouvoir hégémonique en France sera tenu pour seul responsable de la crise qui va venir et des mesures qu’elle appellera, bon gré mal gré.

Les libéraux doivent s'organiser pour constituer leur force en éclairant l’opinion publique. Celle-ci sera très vite désorientée par les initiatives du nouveau pouvoir, les promesses électorales envolées et les réalités économiques et sociales stupidement ignorées, révéleront au grand jour l'incompétence et l'impuissance de la politique à faire vivre durablement la Société.

La relance libérale sera alors devenue une nécessité lorsque les citoyens découvriront que l'horreur n'était pas ce qu'on leur présentait !!! Patrick AUBIN (juin 2012)

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21 déc. 2009

Copenhague : la poursuite des petits pas...

Vouloir minimiser l'accord de Copenhague est le jeu politicien de tous les détracteurs de Nicolas Sarkozy. Mais le fait de réunir plus de 110 chefs d'Etat sur le sujet est déjà un succès à ce nouveau rendez-vous de l'ONU. Une telle prouesse est déjà une réussite. Mais la règle de fonctionnement de l'Organisation des Nations Unies, c'est l'unanimité...Alors comment concilier les divergences de chaque pays tellement guidées par des enjeux nationaux et intérêts économiques particuliers ?
Que les verts, communistes ou socialistes aillent convaincre les chinois de sortir du capitalisme et de revenir au maoïsme : nous verrons comment leur mission sera reçue et avec quel accord ils en reviendront!
A ces indécrottables marchands de malheur, je leur dis deux choses :
- Tout d’abord, il n’y aurait pas eu Copenhague s'il n’y avait pas eu Kyoto…s'il n’y avait pas eu Rio, Berlin, ou plus récemment Montréal, Nairobi et bien sûr Bali… Si Copenhague devait être le premier chapitre d’un monde nouveau, cela ne s’obtient pas en claquant des doigts. Copenhague est la résultante de tout un processus enclenché depuis 20 ans, et malheureusement que depuis 20 ans...Il faut changer le fonctionnement de l'ONU pour que des progrès climatiques puissent se faire dans toutes les parties du monde comme l'Europe se l'applique à elle-même. Il est indispensable que l'environnement devienne un facilitateur économique et non un piège pour ceux qui font les efforts pour sa protection : de nouvelles règles de commerce peuvent se mettre en place, ne serait-ce qu'à l'échelle d'une commune, pour éviter de se contenter de faire de l'échange économique sans contrepartie environnementale.
- Ensuite, il me paraît important de rappeler que, indépendamment des décisions individuelles des 192 pays de l'ONU à faire ou à ne pas faire des efforts, il y a une prise de conscience incroyable au niveau de l'ensemble des populations, il y a un véritable mouvement international qui s’opère de bas en haut des organisations humaines. Aussi minime soit l'accord, c'est la même chose que de faire un pas sur la lune : c'est un progrès pour l'humanité...la direction est prise!
Et ça, même si nous savons que l'accord de Copenhague est insuffisant, c’est nouveau et c’est déjà un premier succès....le Grenelle mondial de l'environnement est sur les rails.

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