SERMENT DE JOHN GALT

Je n'aime pas les boîtes noires. "Je jure, sur ma vie et l'amour que j'ai pour elle, de ne jamais vivre pour les autres, ni demander aux autres de vivre pour moi" JOHN GALT ("La GREVE" Ayn RAND)

Nous sommes sous monopole socialiste et la fin de l'histoire sera le choix entre désordre et délire. Mais c’est l’affaire de la gauche... et de la droite. Pour une fois, on ne pourra pas incriminer le libéralisme, qu'il soit néo, ultra ou autre chose, et le pouvoir hégémonique en France sera tenu pour seul responsable de la crise qui va venir et des mesures qu’elle appellera, bon gré mal gré.

Les libéraux doivent s'organiser pour constituer leur force en éclairant l’opinion publique. Celle-ci sera très vite désorientée par les initiatives du nouveau pouvoir, les promesses électorales envolées et les réalités économiques et sociales stupidement ignorées, révéleront au grand jour l'incompétence et l'impuissance de la politique à faire vivre durablement la Société.

La relance libérale sera alors devenue une nécessité lorsque les citoyens découvriront que l'horreur n'était pas ce qu'on leur présentait !!! Patrick AUBIN (juin 2012)

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1 janv. 2010

Histoire de WC un jour de l'an à Toulouse...

http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/01/746993-Deux-fois-plus-de-toilettes-dans-Toulouse.html

Les contribuables et les usagers vont payer...mais va-t-on mieux engraisser le spécialiste du mobilier urbain ? Car peut-on croire que de passer de 0,5 € à 0,2 € et de passer de 20 à 40 sanisettes va accroitre le nombre de clients de ces lieux ?

Cette situation de quasi-monopole sur le dos de l'argent public est insupportable, notamment parce qu'il s'agit d'hygiène publique. Pourquoi ne pas réfléchir à des sanitaires à accès gratuit, avec une publicité externe écrite et une publicité éventuellement orale une fois à l'intérieur ? Ne serait-ce que pour une expérience de 2 à 3 ans avec partage du territoire avec des sociétés intéressées ? Puis à terme voir de quelle manière, une redevance publique pourrait intervenir...par une négociation avec les différents intervenants.

Mais nous avons des collectivistes à la mairie de Toulouse...qui ne supportent pas le marché...pourtant un appel d'offres bien conduit peut permettre d'allier urbanisme et intérêt public...mais pour eux l'intérêt public serait-il de récolter systématiquement et immédiatement des subsides de toute opération ? On peut le penser...qu'elle sera la prochaine imagination de nos édiles toulousains en ce domaine, une fois l'échec constaté ?

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